Les petits billets de Letizia

Bonjour, aujourd’hui je veux vous faire part de mon point de vue sur trois quarts de siècle de tragédies dévastatrices en Palestine et en Israël.

Depuis le déclenchement du conflit sanguinaire qui a ensanglanté la géographie de la Palestine, plus de sept décennies se sont écoulées, marquées par des injustices tout aussi meurtrières.

Ce qui se déroule actuellement est le résultat d’une période de 75 années marquée par l’oppression implacable et la transgression flagrante du Droit international. À maintes reprises, Israël a bafoué de manière systématique un grand nombre de résolutions du Conseil de Sécurité des Nations unies, tout cela sans que la moindre sanction lui soit infligée.

Il est indiscutable qu’Israël demeure un État qui s’est placé lui-même en marge du respect des normes légales, n’hésitant nullement à coloniser des territoires entiers avec son excuse sécuritaire, à corrompre ou même à recourir à l’assassinat pour éliminer la quasi-totalité des figures dirigeantes du monde géopolitique palestinien.

Les affres de l’indignation et les tourments endurés au fil des trois quarts de siècle trouvent leur expression dans les actes de brutalité et de cruauté perpétrés par certains membres de la population palestinienne. Ces âmes désenchantées, depuis bien des lustres, ressentent un cruel abandon de la part de la communauté internationale.

En vertu du Droit international, les Palestiniens se trouvent investis du droit sacré et du devoir impérieux de résister à l’implacable occupation israélienne, tout comme les Israéliens se voient conférer le droit et l’obligation d’apporter une réponse ferme à l’assaut auquel ils sont soumis.

Il incombe à chaque individu de s’engager avec zèle dans la quête de solutions visant à éradiquer les injustices qui affligent les deux groupes, tout en s’abstenant de cautionner les vengeances cruelles de certains d’entre eux.

De surcroît, le soutien apporté aux peuples palestinien et israélien ne saurait en aucun cas conduire à l’absolution des dirigeants comme des combattants de chaque camp pour les méfaits commis, pas plus qu’il ne peut exonérer les grandes puissances qui ont manœuvré dans les coulisses de ce conflit longtemps émaillé de souffrances.