Les petits billets de Letizia

Un blog pour donner à réfléchir, pas pour influencer… #SalesConnes #NousToutes


Je ne peux rien enseigner à personne, Je ne peux que les faire réfléchir. (Socrate 470/399 A.JC)

Liberté, célibat et échappées belles : Osons nous émanciper des normes !

Salut les amis ! Aujourd’hui, je veux parler d’un sujet qui me tient à cœur : le mariage et les enfants. Je sais que c’est un sujet sensible pour beaucoup de personnes, mais j’ai envie de vous donner mon point de vue.

Franchement, j’ai mené ma barque avec un zeste de défi, esquivant gaillardement le chemin balisé du « mariage et progéniture ». Pourquoi se fondre dans le moule quand on peut tracer sa propre voie, pas vrai ? Et, là-dessus, aucun regret, j’ai exploré des horizons inattendus et des aventures trépidantes, loin des sentiers battus.

Ah, mais voilà, le mariage, cette institution solidement ancrée, semble être l’alpha et l’oméga. Même pour nous autres qui n’avons jamais envisagé de changer notre fusil d’épaule, il est sacrément ardu de larguer l’idéal prétendument incontournable du « mariage-plus-enfants ».

À vrai dire, j’ignore si j’ai été maudite par le mauvais sort, ou bien au contraire, j’ai juste bénéficié d’une sacrée chance. De 16 à 22 ans, j’attirais que des individus qui ne partageaient pas mon vibe romantique. Comme si j’étais un aimant à sens unique. Mais bon, ça m’a au moins préparée à ma vie de célibataire endurci.

C’est vraiment quand j’ai franchi la vingtaine que j’ai pris le taureau par les cornes. J’ai choisi d’être hyper sélective, après avoir entendu les histoires cahoteuses de mes copines et de leurs acolytes. Franchement, c’est effrayant de voir à quel point certaines personnes se plantent en amour. J’ai préféré rester en retrait et mater ces drames amoureux de loin.

Et, puis, y a eu ces embrouilles familiales qui ont secoué mes jeunes années. Ça m’a sérieusement fait réfléchir sur la toxicité des relations et l’importance de s’en éloigner. J’ai compris que je méritais bien mieux que des histoires compliquées et des cœurs en miettes. Alors j’ai opté pour le top choix à ma disposition : rester solo et savourer ma liberté.

Mais, franchement, est-ce qu’on ne pourrait pas se poser des questions sur cette norme sociale ? Parce que le bonheur, ce n’est pas juste une bague au doigt et une marmaille en pagaille. Ensuite, pourquoi pas explorer d’autres chemins, d’autres façons de s’épanouir ? Osons briser les carcans du mariage obligatoire et embrassons la liberté d’être soi-même, sans compromis ni attentes imposées.

Moi, honnêtement, jamais, je n’ai eu l’intention de changer mon statut de célibataire. Mais, il est vrai, l’idée du mariage et des enfants, ce n’est pas mon kif.

« Si vous êtes un homme, mariez-vous. Si vous êtes une femme, ne vous donnez pas cette peine », lançait Paul Dolan, optant pour la franchise dans son discours au « Hay Festival. Théoricien du bonheur ». Dans son livre « Happy Ever After : Escaping The Myth of The Perfect Life » (« Ils vécurent heureux pour toujours… Échapper au mythe de la vie parfaite »), il s’attaque de front aux normes sociales qui dictent nos existences.

Alors, mes amis, n’ayez pas peur de vivre votre vie comme vous l’entendez. Et rappelez-vous : le bonheur ne se mesure pas à l’aune du mariage et des enfants. Il se mesure à la qualité des relations que l’on entretient avec les autres, mais surtout avec soi-même.


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