Les petits billets de Letizia

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Je ne peux rien enseigner à personne, Je ne peux que les faire réfléchir. (Socrate 470/399 A.JC)

Chroniques sarcastiques d’une croyance privée devenue affaire publique

Chères lectrices et chers lecteurs, aujourd’hui, j’ai décidé de vous parler d’un sujet qui me tient particulièrement à cœur : la frontière entre la croyance privée et l’affaire publique. Parce que, soyons honnêtes, il y a des moments où mon athéisme s’allume et où j’ai envie de crier « Stop ! » lorsque la croyance personnelle de certains individus se transforme en une affaire qui concerne tout le monde.

Il est vrai que chacun est libre de croire en ce qu’il veut, que ce soit un dieu, plusieurs dieux, ou même aucun dieu du tout. C’est là toute la beauté de la liberté de pensée et de croyance. Cependant, là où le bât blesse, c’est lorsque ces croyances personnelles commencent à dicter les lois et les règles qui régissent la vie de l’ensemble de la société.

Je veux dire, sérieusement, est-ce que je vais devoir subir des restrictions sur mes droits et ma liberté simplement parce que quelqu’un d’autre pense que c’est ce que son dieu veut ? Non merci. Mon athéisme s’allume lorsque la liberté individuelle est bafouée au nom d’une croyance personnelle.

Et ne parlons même pas des cas où la croyance privée se transforme en une sorte de pathologie mentale collective. Vous savez, ces moments où certains individus pensent qu’ils ont le droit de dicter aux autres comment vivre, comment penser, voire comment aimer. C’est là que mon athéisme s’allume avec une intensité particulière.

Car il ne faut pas se leurrer, derrière ces prétendues croyances et ces prétendues vérités révélées, se cachent souvent des profiteurs prêts à exploiter la misère spirituelle et mentale de ceux qui cherchent des réponses à leurs questionnements les plus profonds. De l’angoisse personnelle au maniement du corps et de l’âme de l’autre, il y a un monde où l’on voit bouillir, embusqués, les profiteurs de cette misère spirituelle et mentale.

Alors oui, je revendique haut et fort mon athéisme lorsque je vois que ces croyances privées deviennent une affaire publique, imposant leur vision du monde à tous. Car pour moi, la liberté de croire va de pair avec la liberté de ne pas croire, et il est grand temps que chacun respecte l’espace mental et spirituel de l’autre.

En conclusion, chères lectrices et chers lecteurs, je vous invite à réfléchir à cette frontière délicate entre la croyance privée et l’affaire publique. Gardons à l’esprit que la diversité des croyances et des non-croyances fait la richesse de notre société, et qu’il est essentiel de préserver la liberté individuelle face à toute forme d’oppression idéologique. Car après tout, comme le dit si bien l’adage : « La liberté de l’un s’arrête là où commence celle de l’autre »,

Sur ces mots, je vous souhaite une excellente journée et n’oubliez pas : gardez votre esprit critique allumé, peu importe ce en quoi vous croyez… ou pas !

Avec toute mon amitié.


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