Chers lecteurs et lectrices,
Aujourd’hui, je voudrais aborder un sujet qui suscite beaucoup de débats et d’opinions divergentes : le véganisme. Dans le paysage alimentaire d’aujourd’hui, le véganisme semble être au centre des discussions, souvent entouré de controverses et d’opinions tranchées. Pourtant, au milieu de ce débat souvent polarisé, je me tiens fièrement en tant qu’omnivore classique, affirmant mes choix alimentaires et mes convictions avec assurance.
Pour moi, le véganisme est une mode, une tendance suivie par les « bobos antispécistes », une simple lubie de quelques-uns. Ma relation avec la nourriture est ancrée dans mes racines culturelles, où les légumes frais, les céréales, les viandes et les poissons se marient harmonieusement dans mes plats du quotidien. Je m’adonne également à des saveurs asiatiques subtiles, tant qu’elles ne sont pas trop relevées.
Retirer les viandes, les poissons et leurs produits dérivés de ma table est pour moi une rupture avec mes habitudes profondément enracinées, une décision impossible à concevoir. Oublier mes poissons grillés, mes entrecôtes, mes figatelli, mes pâtes aux œufs frais, Non merci !
C’est vrai, le véganisme absolu, rejetant tout produit d’origine animale, est excessif. Son adoption impliquerait un changement radical dans le mode de vie et dans les interactions sociales. Pour ce qui me concerne, cela évoque des parallèles avec une religion, avec ses propres règles et ses propres dogmes, de plus, je reste sceptique quant à son potentiel révolutionnaire pour résoudre les défis écologiques auxquels nous sommes confrontés.
En tant que personne assertive, je respecte profondément les choix et les croyances de chacun. Cependant, je reste ferme sur mes propres convictions. Je suis lasse des débats incessants où les arguments, qu’ils viennent des partisans ou des détracteurs du véganisme, sont souvent soutenus par des informations pseudo-scientifiques, pour ne pas dire « pseudo-scientifric » ! Je préfère me concentrer sur une approche équilibrée de mon alimentation, guidée par mes propres valeurs et mes connaissances personnelles.
En fin de compte, je souhaite à chacune et chacun de nous un bon appétit, quels que soient nos choix alimentaires. Que notre alimentation nous nourrisse non seulement physiquement, mais aussi intellectuellement, en nous invitant à réfléchir de manière critique sur nos habitudes et nos convictions. Dans cette diversité culinaire, trouvons la richesse et la nuance qui font de chaque repas un véritable plaisir pour les sens et pour l’esprit.
Je vous remercie de m’avoir accordé votre attention et je suis ouverte à la discussion sur ce sujet.







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