Les petits billets de Letizia

Déconstruire Les Mythes Pour Mieux Jouir

Salut à toustes ! Aujourd’hui, on va aborder un sujet qui fait grincer des dents, rougir de confusion, et rire (jaune) en soirée : la sexualité féminine. Oui, vous avez bien lu. Les clichés sur le désir des femmes sont aussi nombreux que les épisodes de « Plus Belle La Vie », et aussi erronés que les prédictions météo un jour de tempête.

On entend souvent que nous, les femmes, serions « trop compliquées » pour jouir pleinement de notre sexualité. Spoiler alert : c’est faux. En réalité, ce sont les attentes et les suppositions erronées qui nous empêchent de prendre notre pied. Le désir féminin n’est pas une énigme indéchiffrable, c’est un univers à explorer – avec curiosité et respect.

Pour ma part, j’ai choisi de rester célibataire pour une raison bien précise : ma sexualité refuse d’entrer dans les cases étroites de la monogamie. Vous voyez, je préfère une sexualité fluide, libre, et parfaitement alignée sur mes désirs. Et devinez quoi ? Ça marche pour moi !

Autour de moi, je vois trop de femmes dont le désir s’éteint plus vite que les bougies sur un gâteau d’anniversaire. Pendant ce temps, les hommes semblent souvent insatiables. Est-ce vraiment biologique ? J’en doute. J’ai l’impression que les femmes en couple sont socialement découragées d’initier des rapports et de montrer ouvertement leur plaisir. Comme si le plaisir féminin était un secret d’État !

En observant depuis mon coin de célibataire assumée, j’ai remarqué une chose : les hommes peuvent être intimidés par les femmes qui savent ce qu’elles veulent sexuellement. Ironique, non ? On nous reproche notre complexité, mais dès qu’on devient claires et assertives, ça fait fuir. De là à dire que la société a un double discours sur la sexualité féminine, il n’y a qu’un pas. En vérité, on nous apprend que poursuivre ardemment ce qu’on désire pourrait nous mener à… ne pas l’obtenir. Voilà une belle recette pour la frustration moderne !

Mais pourquoi suivre ces stupides conventions sociales ? Et qui a décrété que notre plaisir devait passer au second plan ? Plus on admettra que le plaisir est une motivation légitime et primordiale pour faire l’amour, plus on favorisera une sexualité épanouie pour toustes.

En fin de compte, la sexualité n’est ni compliquée ni simple. Elle est personnelle, unique, et surtout, elle doit être libre de toute norme oppressante. Mesdames (et messieurs), libérons nos désirs, brisons les chaînes des clichés et réclamons notre droit à une sexualité joyeuse et épanouie. Parce que le plaisir n’est pas une option, c’est une nécessité !

Alors, à vos désirs, prêt·e·s, jouissez !

À bientôt pour de nouvelles réflexions décomplexées et humoristiques.

Bisous pailletés !