Quand les Faux Leaders Tiennent les Rênes et les Citoyens Tirent la Charrue.
*À mon humble avis, cette crise révèle l’incapacité de notre monde politique à proposer des solutions efficaces ou à relever les défis.*
Il semblerait qu’un mystérieux fléau s’abatte sur notre système politique : le syndrome du faux leader. À droite, à gauche, au centre, ils pullulent, ces experts en marketing politique, prestidigitateurs du verbe, mais malheureux amateurs en gestion de crise. Leur incompétence est telle qu’on se demande si le pays ne serait pas mieux dirigé par un groupe de lémuriens.
D’ailleurs, prenons l’exemple du gouvernement actuel. Vous savez, celui qui, malgré les urnes qui ont rendu leur verdict en faveur du NFP (Nouvel Front Populaire pour celleux qui n’ont pas suivi), s’accroche au pouvoir comme une moule à son rocher. La démocratie ? Un détail administratif, visiblement. Les résultats des urnes ? Oh, une fâcheuse petite contrainte à contourner à coups de décrets et de manigances institutionnelles. Pendant ce temps, la dette du pays grimpe plus vite que la cote de popularité d’une influenceuse beauté sur TikTok. Et nous ? Eh bien, nous regardons, impuissant·e·s, tandis que ce grand cirque continu.
*Ces faux leaders de tous bords, dirigent sans compétence réelle, privilégient leurs intérêts personnels et cherchent à se protéger, plutôt que de proposer des solutions bénéfiques à tous.*
Le NFP, pourtant promis à des lendemains chantants, semble empêtré dans ses propres contradictions. Sous l’emprise d’une secte politique bien connue, dont le gourou en chef serait capable de convaincre un·e lapin·e d’échanger sa carotte contre une tisane au chlore, il est difficile de ne pas sourire devant cette situation ubuesque. Mais le sourire est jaune, car pendant que la secte LFI et son gourou tentent de prendre le contrôle des opérations à coups de dogmes ésotériques et de slogans creux, les défis économiques, écologiques et sociaux s’amoncellent comme la dette sur nos enfants. Quel avenir brillant !
*Ils compensent leur manque de compétence par du marketing politique, et consacrent plus d’énergie à dissimuler leurs échecs qu’à résoudre les problèmes.*
Soyons honnêtes : ces leaders autoproclamés·e·s ont plus investi dans leur image publique que dans des actions concrètes. Entre selfies en bras de chemise devant une usine fermée et discours enflammés promettant monts et merveilles, on est face à des maîtres du bluff. Tout cela au service d’une seule cause : la préservation de leur petit confort politique et des privilèges qu’ils s’accordent en coulisses. Car après tout, pourquoi s’embarrasser de résoudre les problèmes quand on peut aisément en accuser d’autres tout en arborant un sourire ravageur pour les médias ?
*Un vrai leader est capable de prendre la décision dans l’intérêt de la majorité, sans se soucier de sa popularité, contrairement aux faux leaders qui cherchent simplement à être approuvés et cherchent à maintenir une bonne image en promouvant un faux optimisme, en présentant des données biaisées.*
Le vrai leadership ? Ah, un concept aujourd’hui presque aussi rare que le Dodo. Un·e leader véritable prend des décisions courageuses, même au prix de sa popularité, avec pour seul objectif l’amélioration du bien commun. Mais cette espèce semble en voie de disparition, remplacée par des clones aseptisés, programmés pour survivre dans la jungle médiatique, armés de données biaisées et d’un optimisme tout aussi fabriqué que leur sourire de façade.
Et pourtant, le besoin est urgent. Car pendant que les faux leaders paradent, le peuple continue de tirer la charrue sous le poids d’une dette abyssale et de services publics en déroute. Le pays s’enfonce, la confiance s’érode, et l’on attend désespérément une personne, un.e visionnaire peut-être, qui saura transformer cette scène de comédie politique en quelque chose de sérieux et durable.
*Conclusion : Nous ne sommes pas sortis de l’auberge !*
Eh oui, ami·e·s lecteurs et lectrices, ne vous y trompez pas, la lumière au bout du tunnel, ce n’est probablement pas la sortie, mais un train qui arrive en sens inverse. Que nous réserve l’avenir ? Des politiciens plus lisses que jamais, toujours plus occupés à soigner leur image qu’à réparer ce qui doit l’être ? Une dette qui continue de grandir jusqu’à ce que même nos arrière-petits-enfants ne puissent plus la soutenir ? Tout est possible, sauf un véritable sursaut de bon sens, semble-t-il.
Alors, restons lucides. Dans cette grande mascarade, la démocratie est tenue en otage, et les milliardaires s’agitent en coulisses, manipulant les ficelles d’une marionnette qu’ils ne maîtrisent plus. Peut-être est-il temps, enfin, de se poser la question : qui aura le courage de casser le jouet pour en fabriquer un nouveau, plus solide, plus juste ? Mais bon, pour l’instant, il est peut-être plus prudent de ne pas trop espérer. Après tout, nous ne sommes pas sortis de l’auberge… et il y a encore beaucoup de couverts à servir.






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