Les petits billets de Letizia

Salut tout le monde !

Aujourd’hui, j’ai envie de partager avec vous mon point de vue sur les tatouages. Avant tout, soyons clair·e·s, chacun·e fait ce qu’iel veut de son corps. Que les choses soient bien posées : cet article n’est pas un jugement, mais une opinion personnelle pleine de légèreté… ou presque. Donc, à toustes les tatoué·e·s de l’univers, restez zen, vous avez droit à la liberté d’encrer vos peaux comme bon vous semble. Moi, je suis juste là pour partager mon point de vue… tout aussi libre, mais sans le dermographe.

Les tatouages, ah… ces œuvres d’art en chair qui transforment les corps en véritables galeries ambulantes. Pour certain·e·s, c’est une façon de s’affirmer, pour moi, c’est un peu comme un panneau lumineux qui clignote « SOS », je sabote ma crédibilité sociale » en lettres capitales. Mais que voulez-vous, je ne suis pas Colombo, hein ! Loin de moi l’idée d’enquêter sur les mystères insondables des choix des autres. Parce que comprendre les tatoué·e·s ? C’est aussi complexe que déchiffrer un hiéroglyphe sur un mollet poilu. Mais bon, je tente quand même.

Soyons honnêtes, je ne suis pas atteinte de « stigmatophilie » (pas de fascination pour les tatouages chez moi, merci). Leur défilé sous le soleil estival, façon Aldo Maccione version « exhibition de dessins corporels », a plutôt l’effet d’un repoussoir que d’un délice pour les yeux. Je les vois comme des artistes autoproclamé·e·s du corps, en quête de fétichistes prêts à admirer leur œuvre en technicolor. Avons-nous affaire à une paraphilie ? Franchement, pourquoi pas ! Il n’y a qu’un pas, et je l’ai joyeusement franchi. Vous ne m’en voudrez pas, j’espère ?

C’est vrai que pour certain·e·s, ces tatouages symbolisent des émotions fortes, des moments marquants, des épreuves traversées. Et, dans l’idéal, je pourrais presque comprendre cette démarche, voire la trouver respectable. Oui, je dis bien “presque”. Mais de là à trouver ça esthétiquement agréable… disons que je préfère encore un joli foulard, beaucoup moins permanent et tout aussi symbolique, n’est-ce pas ?

Finalement, je suis convaincue que les tatouages, au-delà de leur dimension purement décorative (si tant est qu’on trouve une « décoration » dans une tête de mort, un signe nazi ou une citation approximative), véhiculent un message bien plus profond : « Je suis unique, regardez-moi, et surtout, essayez de me comprendre. » Mais bon, chacun·e son truc et chacun son style ! Les tatouages sont une forme d’expression personnelle et artistique qui mérite d’être respectée. Alors que vous soyez tatoué·e·s ou non, l’essentiel, c’est d’être bien dans sa peau, n’est-ce pas ?

À bientôt pour de nouvelles discussions pleines de légèreté !