Entre Querelles D’ego Et Absence De Cap, Le Parti Socialiste S’enlise Dans Une Crise Identitaire Profonde, Laissant Les Citoyens À Quai.
Le PS, Ce Théâtre D’ombres
Ah, le Parti socialiste… autrefois phare de la gauche française, aujourd’hui réduit à un théâtre d’ombres où les acteurs principaux se disputent les rôles sans script ni metteur en scène. À l’approche du 81e congrès prévu à Nancy du 13 au 15 juin 2025, le spectacle est affligeant : trois prétendants – Olivier Faure, Nicolas Mayer-Rossignol et Boris Vallaud – s’affrontent non pas sur des idées, mais sur des postures. Le débat d’idées ? Aux abonnés absents. Le projet politique ? Un concept visiblement obsolète.
Acte I : Des Querelles Dignes D’une Cour De Récréation
Les tensions internes atteignent des sommets de puérilité. Entre accusations de fraudes lors des scrutins internes et stratégies de « bordélisation volontaire », le PS semble plus préoccupé par ses luttes intestines que par les enjeux nationaux. Un membre de l’entourage d’Olivier Faure ironise : « Leur seule obsession est de faire tomber Olivier ». À ce niveau-là, on frôle le bac à sable.
Acte II : Un Débat D’idées Aux Abonnés Absents
Pendant que les autres partis de gauche actualisent leurs programmes, le PS s’enlise dans l’immobilisme. Pas un mot sur l’écologie, la santé ou l’éducation dans les textes d’orientation. Un cadre proche de Boris Vallaud admet : « Le PS n’a pas de projet ». Le parti semble avoir oublié que la politique, c’est avant tout des idées.
Acte III : La France Insoumise, Ce Miroir Déformant
La relation ambiguë avec La France insoumise (LFI) divise profondément le PS. Certains, comme Hélène Geoffroy, refusent d’être des « supplétifs de LFI », tandis que d’autres, à l’instar d’Olivier Faure, peinent à clarifier leur position. Le PS, champion du grand écart, oscille entre alliance stratégique et préservation de son identité.
Acte IV : Et Le Peuple Dans Tout Ça ?
Pendant que le PS se regarde le nombril, les citoyens se détournent. La désaffection populaire est palpable, et le parti peine à se reconnecter avec les préoccupations des Français. En tant que citoyenne, je me demande encore ce que représente le PS aujourd’hui. Peut-être qu’un énième slogan creux fera l’affaire ?
Conclusion : Le PS, Ce Titanic Politique
Le Parti socialiste navigue à vue, sans boussole ni capitaine. Les querelles internes, l’absence de débat d’idées et la déconnexion avec les citoyens le mènent droit vers l’iceberg. À force de naviguer sans cap, le PS risque de finir en épave. Il est temps de repenser la politique autrement, avec des idées claires et une véritable connexion avec les citoyens.






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